• Oé, entreprise régénérative

Limiter nos impacts négatifs et régénérer 

Oé cherche en permanence comment limiter les impacts négatifs de la filière : réemploi des bouteilles, démarche zéro-déchet, choix de l’agriculture biologique, modèle d’entreprise réinventé, transport bas-carbone… 
Et face aux dépassements de nos limites planétaires, cela ne suffit plus. C’est pour cela qu’on contribue à restaurer les conditions du vivant et renouveler les ressources naturelles. On dépend de ces écosystèmes, on se doit de les protéger, les préserver et les restaurer. 

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in detail

73% des populations sauvages

ont disparu en 50 ans


75% des terres

sont dégradées


50% du PIB mondial

dépend de la nature


72% des entreprises européennes

sont dépendantes de la biodiversité


La vigne bio-agroécologique pour régénérer le vivant

Victime, responsable et solution, l’agriculture est tout à la fois face au changement climatique et à l'effondrement de la biodiversité. Notre mission est de transformer l’agriculture et de soutenir une viticulture bio-régénérative pour produire de manière durable, préserver le vivant et rendre des services écosystémiques dont nous, entreprises et citoyens, profitons gratuitement. Cette viticulture allie production agricole et reproduction des ressources naturelles, elle lie l’agronomie et l’écologie et vise à séquestrer du carbone, restaurer la biodiversité et régénérer le cycle de l’eau pour répondre aux défis climatiques et environnementaux actuels. Elle répond aux défis sociaux rencontrés par les agriculteurs : renouvellement des générations, valorisation du métier, répartition de la valeur, connexion au grand public, etc.

Vous engager à nos côtés

Vous financez une partie des actions de régénération que nous menons sur plusieurs années. 
On vous fournit des éléments de communication (bouteilles, visuels, prises de parole) et des indicateurs de reporting (CSRD), permettant d'embarquer plus largement vos parties prenantes (collaborateurs, clients, prospects).

Cette histoire commence au Domaine Oé de la Chapelle Saint-Pierre

C’est sur nos 6 hectares en vallée du Rhône que nous lançons nos premières actions de transition bio-agroécologique de la vigne. 

Situé entre Mondragon (Vaucluse) et Rochegude (Drôme), le domaine - qui tire son nom de la chapelle en lisière d’une de ses parcelles - offre une vue magnifique sur le mont Ventoux et une halte bienvenue aux randonneurs du GR® 4.

Vous embarquez avec nous dans ce projet de restauration du vivant ?

Ce qu’on fera dans les vignes avec les fonds collectés 

  • Apporter de la matière organique (compost, broyat, biochar)

    Maintenir la fertilité des sols en réalisant régulièrement des apports adaptés de matière organique (grâce aux analyses de sol) permet de : 

    • fournir des nutriments essentiels à la croissance des plantes et agir comme une réserve nutritive 
    • améliorer la structure du sol : retient l’eau, aère le sol, réduit sa compaction et son érosion
    • nourrir les micro-organismes, champignons et vers de terre qui améliorent la richesse du sol 
    • capturer et stocker plus de carbone atmosphérique
  • Mettre en place des couverts végétaux

    Ces plantes cultivées permettent de protéger et d’enrichir le sol : 

    • protéger le sol et limiter l’érosion
    • stabiliser le sol (grâce au réseau racinaire), réduisant le ruissellement et la perte de particules fines
    •  décompacter naturellement le sol grâce aux racines des plantes, améliorant son aération et facilitant l’infiltration de l’eau.
    • enrichir le sol en matière organique et en nutriments pour la culture principale
    • favoriser la biodiversité en attirant des insectes et favorisant les micro-organismes et vers de terre
    • réduire l’évaporation en formant une couverture protectrice contre le soleil, et la capacité du sol à absorber et stocker l’eau
  • Intégrer des bandes fleuries et des dispositifs pour la faune locale

    Mettre en place des espaces de vie pour la biodiversité permet de :

    • attirer une grande diversité d’espèces (insectes, oiseaux, petits mammifères) dont les pollinisateurs et prédateurs naturels des ravageurs 
    • améliorer la pollinisation et augmenter les rendements et la qualité des culture
    • augmenter la résilience face au changement climatique en protégeant les cultures et en augmentant l’humidité… 
    • contribuer au paysage et à la reconnexion à la nature
  • Implanter des haies autour des parcelles

    Les haies, en plus de constituer un réservoir de biodiversité sur l’exploitation, préviennent les risques liés au changement climatique. 

    • réguler la température de la vigne : restitution de la chaleur la nuit, climatisation le jour par l’évapotranspiration 
    • créer un effet parasol/parapluie
    • lutter contre l’érosion des sols : freiner le vent, réduire le ruissellement de l’eau 
    • améliorer la structure et fertilité des sols (grâce à leurs racines, et aux matières organiques issues des haies)
    • capturer du CO2 
    • protéger la biodiversité en offrant un habitat et des corridors écologiques
  • Planter des arbres en vitiforesterie

    L’agroforesterie vient renforcer les nombreux avantages déjà apportés par les haies.

    • améliorer la fertilité des sols 
    • régulier les ressources en eau
    • améliorer le microclimat 
    • séquestrer du carbone
    • favoriser la biodiversité